Henri Marnet-Cornus ("HMC"), spécialiste de la sécurité
aérienne, et des associations de familles de victimes de plusieurs crashs mettent en cause la justice. Mais avec beaucoup de retard
et des "oublis". Quelques rappels préalables ne sont pas inutiles.
QUELQUES RAPPELS SUR HMC ET LE CONTEXTE

Dédicaces de François Nénin et Henri Marnet-Cornus (leur livre paru en 2006)
Des documents concernant HMC et le livre qu'il a co-écrit en 2006, ainsi que
divers événements survenus au long de ces dernières années, sont présentés dans un fichier PDF disponible en ligne
(36 pages - 1,81 Mo) :
[PDF] Ceux qui me félicitent et qui me donnent raison
UN REVEIL TARDIF ET TIMIDE
Dans un PDF du 17 mai 2018, publié le 18, Henri Marnet-Cornus et des
associations de familles de victimes mettent timidement en cause la justice. Ci-dessous, liens vers le PDF sur le blog de HMC et vers
une copie de sécurité (6 pages - 245 Ko) :
[PDF] Sur le blog de Henri Marnet-Cornus
[PDF] Copie de sécurité
Article du blog de HMC où celui-ci présente son PDF :
West Caribbean 708. L'appel du non-lieu
LES « OUBLIS » DE HENRI MARNET-CORNUS
Dans son PDF il cite douze crashs, présentés chronologiquement.
Peut-être aurait-il dû mentionner en deuxième position (première page de son PDF), le crash de Habsheim survenu le 26 juin 1988
(vol commercial affrété à la compagnie Air France) ? Ce crash, je l'avais annoncé, ainsi qu'il ressort des premiers chapitres de
mon livre paru en 1994 et des documents d'archive mis en ligne depuis la création de mon site Web en 2004.
Peut-être HMC aurait-il dû ajouter, après le crash Yemenia du 30 juin 2009,
d'autres accidents actuellement à l'instruction en France, survenus durant le quinquennat de Hollande, impliquant des Airbus ?
Peut-être aurait-il dû compléter la conclusion de son exposé ?
Je cite : "La Justice de notre pays semble se satisfaire d'un transport aérien dans lequel des compagnies poubelles peuvent
transporter des passagers, des administrations de tutelle peuvent faire preuve de complaisance, des acteurs essentiels de la
sécurité [peuvent] violer de façon délibérée des obligations de prudence ou de sécurité". Sur ce dernier point,
peut-on imaginer pire qu'enfermer celui qui dit la vérité ?
Je crois devoir répéter, s'agissant de la justice qui se satisfait
des violations délibérées des obligations de prudence ou de sécurité : peut-on imaginer pire qu'enfermer celui qui dit la
vérité ? Il aurait été bon que le spécialiste de la sécurité aérienne Henri Marnet-Cornus rappelle ce fait, alors que, victime
de méthodes abjectes depuis trente ans, je suis encore et toujours menacé d'enfermement !
L'ENQUETE SUR L'AF447 RIO-PARIS
Une caricature. Tout le monde peut le comprendre sans connaissances
aéronautiques ni juridiques à la lecture de quelques documents (PDF - 15 pages - 871 Ko) :
[PDF] AF447 : une enquête pénale corrompue
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